
Vous êtes inquiet car votre compagnon a des selles liquides ou rejette son repas. 😟
Ces signes viennent du tube digestif. Parfois, c’est passager et bénin. D’autres fois, cela révèle une maladie plus grave.
Notre objectif : vous donner des gestes simples pour protéger sa santé et savoir quand consulter.
Commencez par surveiller l’état général 24 à 48 h. Offrez de l’eau fraîche et une diète courte si les symptômes restent légers.
Si l’état se dégrade, si la fièvre apparaît, ou si vous voyez du sang, contactez rapidement votre vétérinaire. ✅
Dans cet article, nous expliquons les symptômes, les repères à suivre et les soins pratiques pour réconforter votre animal pas à pas. 💕
Points clés à retenir
- Surveillance 24–48 h si l’épisode est isolé.
- Diète courte et eau fraîche en priorité.
- Appeler le vétérinaire en cas de fièvre, apathie ou sang.
- Des produits vétérinaires existent, mais à utiliser selon avis pro.
- Protégez l’état général et favorisez une reprise progressive.
Diarrhée et vomissements chez le chien : définitions, signes et ce qu’il faut observer

Savoir distinguer ce que vous voyez améliore l’évaluation à la maison. Le vomissement est une expulsion active avec contractions abdominales. Il se différencie du reflux, appelé régurgitation, qui n’implique pas ces contractions.
Les matières rejetées peuvent être sanglantes, muqueuses, grasses ou partiellement digérées. Notez l’aspect précis : couleur, présence de mucus ou de sang, et odeur.
La diarrhée se traduit par des selles plus molles ou liquides. Le volume augmente et la fréquence grimpe. Ce phénomène vient souvent d’une accélération du transit et d’une plus grande quantité d’eau dans les selles.
- Observez : aspect (sang, mucus), fréquence, volume et contexte (changement d’alimentation, accès aux poubelles, herbe ingérée).
- Notez depuis quand les symptômes existent et si l’état général change.
- Ces troubles peuvent être passagers ou indiquer une affection plus grave selon le contexte.
| Élément | À surveiller | Pourquoi c’est utile |
|---|---|---|
| Aspect | Couleur, mucus, sang | Aide à orienter l’origine (intestinal, gastrique, digestif) |
| Fréquence | Nombre d’épisodes/jour | Mesure la gravité et la perte de liquides |
| Contexte | Changement d’alimentation, accès déchets | Permet d’identifier une cause évitable |
Évaluer l’urgence: quand la situation devient préoccupante
L’intensité des signes et leur répétition donnent vite une idée de l’urgence. Observez calmement la fréquence et l’impact sur l’appétit et l’énergie. Ces éléments orientent la suite des soins.
Intensité et fréquence des symptômes: repères concrets
Plus les épisodes sont nombreux et violents, plus le risque de déshydratation augmente. Un épisode isolé peut être gérable à la maison. Trois épisodes ou plus en quelques heures justifient de rester vigilant.
Durée d’évolution: le seuil des 24-48 heures
Le cap des 24–48 jours est simple : si les troubles persistent au-delà, mieux vaut consulter. Au-delà de ce délai, les complications peuvent être plus probables.
Autres symptômes associés
La présence de sang, la fièvre, l’abattement ou la douleur abdominale sont des signes d’alerte. Ils nécessitent un contact rapide avec un vétérinaire.
Profil de l’animal
Les chiots, les seniors, les races miniatures et les chiens avec maladies chroniques (diabète, reins, foie) basculent plus vite vers un état critique. Dans ces cas, la consultation vétérinaire devient une priorité.

| Paramètre | Repère | Action recommandée |
|---|---|---|
| Fréquence | 1 épisode isolé / plusieurs en quelques heures | Surveillance à la maison ou appel si répétition |
| Durée | > 24–48 jours | Consulter pour éviter complications |
| Autres symptômes | Sang, fièvre, abattement, douleur | Contacter le vétérinaire rapidement |
| Profil | Chiot, senior, miniatures, comorbidités | Anticiper consultation et traitement précoce |
Premiers gestes à la maison: diète, eau et repos du tube digestif
Un repos digestif bref peut aider votre compagnon à récupérer rapidement. Commencez par une diète courte de 12 à 24 heures pour apaiser le tube digestif. Cette pause limite l’activité gastrique et facilite le retour à la normale.
Ne faites pas de jeûne strict si votre chiot, un animal très petit ou un chien sous insuline est concerné. Dans ces cas, appelez le vétérinaire avant toute modification d’alimentation.

Hydratation et reprise
L’eau doit rester disponible en permanence. Proposez de petites quantités régulièrement plutôt qu’un grand bol d’un coup. Privilégiez une eau tempérée, peu chlorée.
Vous pouvez offrir de l’eau de cuisson du riz pour son amidon ou une solution d’électrolytes adaptée. Fractionnez les prises et multipliez les points d’eau pour encourager la boisson.
- Diète 12–24 h pour reposer le tube.
- Réintroduire des repas très digestes, en petites portions.
- Surveiller l’énergie, la soif et la fréquence des selles pendant 48 jours.
| Geste | Pourquoi | Quand consulter |
|---|---|---|
| Diète courte (12–24 h) | Repose le tube digestif et réduit l’irritation | Si pas d’amélioration après 24–48 jours |
| Petites prises d’eau régulières | Évite la déshydratation et facilite la tolérance | Si soif excessive ou faiblesse |
| Réintroduction progressive | Évite un nouveau rejet et stabilise l’alimentation | Si vomissements ou selles liquides persistent |
Médicaments et pansements digestifs: que donner (ou pas)
Un bon pansement digestif peut limiter la perte d’eau et protéger la muqueuse dès les premiers signes. 😊
Priorité sécurité : ne donnez pas de médicaments humains sans avis. Les principes actifs et les doses diffèrent et peuvent être dangereux. ⚠️

Anti‑diarrhéiques à base d’argile
Les pansements intestinaux à base de smectite, diosmectite ou montmorillonite aident à capter l’excès d’eau et à protéger la muqueuse.
En dépannage, un Smecta peut dépanner s’il n’y a pas d’alternative vétérinaire, mais appelez votre vétérinaire ensuite pour un schéma adapté.
Anti‑vomitifs et accompagnement
Les anti‑vomitifs vétérinaires usuels sont le métoclopramide et le maropitant. Ils sont prescrits par un vétérinaire et adaptés selon le cas. 🩺
Des probiotiques et des pansements gastriques (Pro-Kolin, Easypill, montmorillonite) peuvent compléter le traitement et rééquilibrer la flore.
- Ne pas s’automédiquer avec des produits humains.
- Respectez la posologie et la durée pour obtenir l’effet attendu et éviter les rechutes ✅.
- Si les symptômes persistent ou s’aggravent, votre vétérinaire peut prescrire un traitement ciblé.
Quand consulter le vétérinaire sans tarder
Lorsque l’animal montre des signes inquiétants, chaque heure compte. Si les troubles durent plus de 24–48 jours, appelez un vétérinaire. Un avis rapide protège l’état général et accélère la prise en charge.

Consultez sans attendre si vous observez du sang, de la fièvre, des tremblements, de l’apathie ou une douleur abdominale. Ces éléments sont des signes qui nécessitent une évaluation en clinique.
Chez le chiot, les seniors ou les animaux fragiles, la déshydratation s’installe vite. Dans ces cas, la situation devient souvent une urgence vétérinaire.
- Si les troubles persistent ou s’aggravent au-delà de 24–48 jours, cherchez un avis vétérinaire 🩺.
- La présence de sang, de fièvre, d’abattement ou de douleur requiert une consultation rapide.
- En cas d’ingestion suspecte (toxique, os, jouet), rendez‑vous en clinique sans délai.
| Situation | Repère | Action recommandée |
|---|---|---|
| Persistance | > 24–48 jours | Consulter un vétérinaire |
| Signes graves | Sang, fièvre, abattement | Visite urgente en clinique |
| Cas fragiles | Chiot, seniors, comorbidités | Anticiper la consultation |
chien diarrhée vomissement: causes fréquentes et situations à risque
De nombreux facteurs peuvent déclencher un dérangement digestif chez votre compagnon. Comprendre les causes aide à agir vite et sereinement. 😊
Alimentation: changements brusques, intolérances et allergies
Un changement de nourriture trop rapide est une cause classique. Passez toujours par une transition progressive.
Les restes ou les poubelles irritent l’intestin. Les intolérances s’accompagnent parfois de démangeaisons.
Parasites, bactéries et virus: giardiose, parvovirose et autres infections
Les parasites comme la giardiose et certaines bactéries ou virus peuvent provoquer des troubles sévères, surtout chez les jeunes.
Intoxication, médicaments et corps étrangers
Certaines substances toxiques ou un corps étranger exigent une action rapide. Certains médicaments déclenchent aussi des réactions digestives.
Maladies sous‑jacentes: foie, reins, pancréas, troubles inflammatoires et stress
Des maladies chroniques (foie, reins, pancréas) entraînent des symptômes persistants. Le stress peut aggraver la situation après exclusion d’une cause médicale.
- Transition alimentaire douce 🔄
- Éviter restes gras et épicés
- Consulter rapidement en cas d’ingestion suspecte ☎️
| Cause | Qui touche | Action |
|---|---|---|
| Changement alimentaire | Tous | Transition lente |
| Infection (bactéries/virus) | Chiots surtout | Consultation + tests |
| Intoxication / corps étranger | Tous | Urgence vétérinaire |
Pour en savoir plus sur les problèmes de santé et les signes à surveiller, consultez notre guide pratique problèmes de santé du chien.
Comment le vétérinaire pose le diagnostic
Le diagnostic se construit étape par étape, en combinant votre récit et des examens ciblés. 😊
Anamnèse et examen clinique
Le vétérinaire commence par un historique précis : alimentation, sorties, contact avec d’autres animaux et signes observés. 📝
L’examen évalue l’état général, l’hydratation et la douleur abdominale. Ces éléments déterminent les examens complémentaires.
Analyses de selles et sanguines
Les analyses de selles recherchent parasites, bactéries et virus. Le bilan sanguin explore inflammation et fonctions des organes.
Imagerie
En cas de suspicion de corps étranger ou d’obstruction, des radiographies ou une échographie sont réalisées. L’imagerie clarifie rapidement le cas.
Régime d’élimination
Si une allergie alimentaire est suspectée, un régime d’élimination structuré permet d’identifier l’ingrédient en cause.
"Le diagnostic repose sur l’écoute, les examens ciblés et un suivi adapté."
- Le praticien peut demander un suivi pour ajuster le traitement.
- La présence d’autres symptômes oriente le protocole.
| Étape | Objectif | Résultat attendu |
|---|---|---|
| Anamnèse | Repérer exposition et alimentation | Orientation des examens |
| Analyses | Confirmer parasites/inflammation | Traitement ciblé |
| Imagerie | Détecter obstruction | Intervention ou surveillance |
Réalimentation progressive et suivi après l’épisode
Commencez la réalimentation avec des portions réduites et des ingrédients très digestes. Après la pause, remettez de la nourriture douce en petites quantités pour ménager le tube digestif. 😊
Reprise en petites portions: protéines très digestibles et amidon
Redémarrez par des repas simples : poulet bien cuit et riz blanc. Augmentez les portions lentement, deux à quatre fois par jour.
Ajoutez des fibres douces comme la citrouille cuite ou la carotte pour aider à raffermir les selles. Un peu de psyllium peut être utile si la tolérance est bonne.
Les probiotiques soutiennent la flore intestinale, surtout après un traitement prolongé.
Surveillance des selles, de la fréquence et de l’état général
Observez l’appétit, la vitalité et l’aspect des selles chaque jour. Notez la fréquence et le volume des passages.
Si les signes persistent ou réapparaissent, un ajustement du traitement ou de l’alimentation peut être nécessaire. Contactez votre vétérinaire pour adapter la prise en charge.
- Redémarrage : petites portions très digestes, augmenter progressivement.
- Fréquences : fractionnez 3–4 fois par jour pour ménager l’intestin.
- Compléments : fibres douces et probiotiques pour stabiliser les selles.
| Étape | Action recommandée | Signes de bonne reprise |
|---|---|---|
| Jour 1–2 | Petites portions poulet/riz, 3–4 prises | Appétit présent, selles moins liquides |
| Jour 3–5 | Augmenter légèrement les quantités, maintenir fibres | Énergie stable, selles plus formées |
| Suivi | Observer 7 jours, noter fréquence et aspect | Retour progressif à l’alimentation normale |
Pour des conseils détaillés sur l’état de santé et les signes à surveiller, consultez notre guide sur les problèmes de santé du chien. 💬
Prévenir les diarrhées et vomissements: hygiène de vie et santé
Une bonne hygiène de vie réduit nettement le risque de problèmes digestifs chez votre compagnon. 😊
Alimentation de qualité : choisissez une nourriture adaptée et changez-la progressivement sur plusieurs jours pour ménager l’intestin. Une transition lente évite les perturbations du transit.
Hydratation et repas : laissez toujours de l’eau fraîche. Adaptez les rations selon l’activité et la saison. Évitez les restes gras ou épicés qui peuvent déclencher des troubles digestifs.
Vermifugation et vaccinations : respectez le calendrier de vermifuge et gardez les vaccins à jour, notamment contre les maladies digestives contagieuses. Cela limite la circulation de bactéries et de parasites.
- Limitez les contacts avec des animaux malades et privilégiez des espaces propres.
- Des visites régulières chez le vétérinaire aident à détecter tôt les signes et préserver la santé.
Pour aller plus loin, consultez notre guide sur les problèmes de santé du chien et adaptez vos habitudes pour une protection durable. 💙
Situations particulières: chiots, chiens âgés et animaux fragiles
Les tout‑petits et les seniors demandent une vigilance particulière dès les premiers signes. 😊
Chez ces profils, le risque de déshydratation peut être rapide et surprenant.
Risque élevé: urgence vétérinaire
Si la soif diminue ou si l'énergie chute, considérez cela comme une urgence.
Pour un chiot, une consultation précoce évite l'aggravation. Appelez votre vétérinaire sans tarder. 🆘
Adapter la diète et le traitement selon les comorbidités
Ne forcez pas un jeûne strict chez un chiot, les races miniatures ou un animal sous insuline.
En cas de maladies chroniques (insuffisance rénale, hépatique, pancréatite), les médicaments et le traitement doivent être personnalisés.
- Surveillez l’état général : soif, appétit, énergie, température.
- Certains cas peuvent être stabilisés à domicile, d’autres exigent une perfusion et des soins en clinique.
- Votre vétérinaire ajustera le plan alimentaire et les soins pour protéger ces profils fragiles.
| Profil | Risque principal | Action recommandée |
|---|---|---|
| Chiot | Déshydratation rapide | Consulter en urgence |
| Senior | Complications liées aux maladies | Adapter le traitement |
| Animal fragile | Sensibilité aux jeûnes | Surveillance et plan vétérinaire |
Conclusion
Un épisode bref peut souvent rentrer dans l’ordre avec une surveillance attentive et des gestes simples. Surveillez 24–48 heures l’évolution et l’état général. ⏱️
Favorisez une diète courte, de l’eau à disposition et une réalimentation douce. Ces mesures aident souvent à stabiliser la situation. 💧🍚
La présence de sang, de fièvre, d’abattement ou la répétition des épisodes plusieurs fois exigent un contact rapide avec votre vétérinaire. La déshydratation peut être rapide chez les profils fragiles.
Un bilan structuré permet d’identifier les causes et de proposer le traitement adapté. Pour aller plus loin, consultez notre guide sur les problèmes de santé du chien. 💙
FAQ
Mon chien a la diarrhée et vomit depuis quelques heures — que faire en priorité ?
Commencez par retirer la nourriture pendant 12–24 heures pour laisser le tube digestif se reposer, proposez de l'eau fraîche en petites quantités et surveillez l'état général. Si les vomissements ou les selles liquides persistent au-delà de 24–48 heures, s'il y a du sang, de la fièvre ou une grande fatigue, contactez rapidement votre vétérinaire. 🧡
Quand considère-t-on la situation comme une urgence vétérinaire ?
Consultez sans délai si l'animal est très apathique, déshydraté, s'il vomit de façon continue, s'il y a du sang dans les selles ou vomissures, ou s'il s'agit d'un chiot ou d'un animal très âgé. Ces signes indiquent un risque élevé et demandent une prise en charge immédiate. 🚨
Peut-on donner des anti-diarrhéiques ou anti-vomitifs trouvés en pharmacie humaine ?
Non, évitez l'automédication. Certains médicaments humains sont toxiques pour les animaux. Utilisez uniquement des produits prescrits par votre vétérinaire, comme les anti-vomitifs vétérinaires (métoclopramide, maropitant) ou des pansements digestifs à base de diosmectite, si indiqué. 🤝
Comment savoir si mon compagnon est déshydraté ?
Vérifiez la souplesse de la peau (pli cutané qui revient lentement), la sécheresse des muqueuses et un enfoncement des yeux. Un comportement apathique et une diminution de la prise d'eau sont aussi des signes. En cas de doute, consultez vite. 💧
Quels sont les signes qui orientent vers une infection grave comme la parvovirose ?
Des vomissements violents, des selles très liquides parfois sanglantes, une dépression importante et une fièvre ou hypothermie chez le chiot doivent faire suspecter une infection grave telle que la parvovirose. Vaccination et examen rapide par un vétérinaire sont cruciaux. 🩺
Que donner comme eau ou solution pour réhydrater à la maison ?
Proposez de l'eau fraîche en petites prises fréquentes. Si votre vétérinaire le recommande, utilisez des solutions de réhydratation orale adaptées aux animaux ou des électrolytes vétérinaires. N’improvisez pas avec des solutions humaines sans avis professionnel. 💦
Quel régime proposer lors de la reprise alimentaire après un épisode aigu ?
Réintroduisez progressivement de petites portions de protéines très digestibles (poulet cuit sans peau, riz blanc bien cuit) en fractionnant les repas. Augmentez progressivement les quantités sur 3–5 jours tout en surveillant les selles. 🌾🍗
Comment le vétérinaire établit-il la cause des troubles digestifs ?
Le diagnostic repose sur l'anamnèse, l'examen clinique, la recherche de déshydratation, puis des analyses (selles, sanguines) et éventuellement l'imagerie (radiographie, échographie) si on suspecte une obstruction ou une lésion interne. Un régime d'élimination peut être proposé pour tester une allergie alimentaire. 🔬
Les parasites intestinaux peuvent-ils provoquer ces symptômes ?
Oui, des parasites comme la giardia ou d'autres vers provoquent diarrhées et parfois vomissements. Une analyse de selles et un traitement vermifuge adapté sont souvent nécessaires. La prévention régulière est importante. 🐾
Quels sont les gestes de prévention au quotidien ?
Maintenez une alimentation de qualité, effectuez des transitions alimentaires progressives, respectez le calendrier de vermifugation et vaccination, évitez les restes de table et surveillez les contacts à risque. L'hygiène et des visites régulières chez le vétérinaire réduisent les risques. 🌟
Mon animal a des maladies chroniques (foie, reins) : comment adapter la prise en charge ?
Les animaux avec comorbidités sont plus fragiles. Informez votre vétérinaire de l'historique médical : il adaptera la diète, les traitements et le suivi. Une gestion rapide et personnalisée limite les complications. 🤍
Peut-on prévenir les épisodes en changeant l'alimentation ?
Oui : faites une transition progressive sur 7–10 jours lors d'un changement d'aliment, privilégiez des croquettes ou pâtées de qualité, et évitez les aliments inadaptés. En cas d'intolérance, un régime d’élimination prescrit par le vétérinaire peut aider. 🥣
Que faire si mon chiot vomit et a des selles liquides après avoir joué dehors ?
Surveillez la présence de corps étrangers ou d’ingestion de plantes/toxiques. Si les signes persistent, s'il y a du sang ou si le chiot semble abattu, consultez en urgence : les jeunes animaux se déshydratent vite. 🌱
Les médicaments prescrits ont-ils des effets secondaires fréquents ?
Comme tout traitement, certains peuvent provoquer somnolence, constipation ou modifications d'appétit. Votre vétérinaire vous expliquera les bénéfices et les risques, et ajustera la posologie si nécessaire. 🩹
Combien de temps faut-il surveiller l’animal après un épisode résolu ?
Continuez la surveillance des selles, du comportement et de l'appétit pendant au moins une semaine. Si un retour des signes survient ou si l'état général se détériore, prenez rendez-vous chez le vétérinaire. 👀

